QUATRE (04) PRINCIPES ESSENTIELS POUR DEVENIR UN CONDUCTEUR DE LOUANGE AYANT DU SUCCES
Ceux qui mâitrisent n’importe quelle habilileté ont appris à identifier les clés vitales du succès. Pour le culte d’adoration, ce n’est pas different. Mon grand-père avait environ une dizaine de trucs pour la pêche et cela fonctionnait à tous les coups. Il disait, ‘‘La pêche consiste en la conbinaison de 90% de patience et 10% de connaissances pour faire trois choses correctement’’. Je crois que la conduite de la louange comporte les mêmes facteurs que le succès. C’est composé en 10% de choses faites correctement et 90% de patience pour voir ce qui va se passer.
Les quatres secrets suivants sont les clés pour vivre une expérience qui GLORIFIE DIEU et qui libère les cœurs durant le long voyage de la louange.
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LE PRINCIPE DU CONTRASTE.
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Une bonne communication requiert l’utilisation du contraste. Les gens dérivent et se demandent ce qui ne va pas quand chaque cantique est dans la même tonalité et comporte la même sonorité. La plupart d’entre nous avons une atmosphère préférée avec laquelle nous aimons atteindre les autres. Les personnes mélancoliques choisissent une liste morbide, les personnes dynamiques tendent à nous rendre malades avec une musique pétillante et les plus austères aiment la sonorité à pulsation régulière et les grandes formules lyriques.
Toutes ces atmosphères ont beucoup à nous offrir. Un bon conducteur de louange apprend à diriger avec intelligence et comprend la puissance de contaster une ou deux chansons très chargées avec une plus joyeuse, la douceur avec le silence et ensuite avec la puissance.
Les gens se souviennent et adorent Dieu de tout leur cœur. J’ai une liste d’éléments à travers laquelle je passe quand je choisis des cantiques et que je prie pour le culte. Je me demande à moi-même, quand le silence est-il supposé fontionner ? Y a-t-il un ou deux cantiques comportant un contenu theologique ? Sinon, pourquoi pas un hymne ? A un certain moment, y a-t-il un chant très fort de proclamation qui peut s’inserer ?
L’instrumentalisation est un autre secteur où les contrastes finement ajoutés fonctionnent bien. J’ai visité beaucoup d’églises et dans la plupart, le volume est le même du commencement à la fin. Une utilisation créative de beaucoup d’intruments peut êtr rafraîchissante. Mais l’utilisation sans direction des intruments enterre le culte dans une masse sonore.
Prenez votre temps avant le culte et demandez-vous comment les intruments peuvent être utilisés pour créer un effet. Par exemple, si vous avez des cuivres, les utiliser pendant une chanson peut transmettre une facette puissante de Dieu. Mais s’ils jouent pendant toute les chansons, ils peuvent nous rappeler combien chaotique et occupé est notre monde. Alterner entre les guitares accoustiques et electriques peut permettre de garder l’attention.
Le crontraste entre la voix des hommes et des femmes un autre outil naturel à utiliser. Quand les femment chantent un couplet et que tout le monde s’ajoute pour le second couplet, je pense à ce qu’Israël a pu ressentir quand la mer rouge a éeté mise à sec.
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LE PRINCIPE DE LA SENSIBILITE PASTORALE
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J’apprends d’avantage en regardant les Pasteurs des cultes d’adoration. Même si vous chantez mal, le don pastoral apporte une touche très guérissante durant le culte.
Les musiciens et chanteurs tendent à être plus en contact avec la musique qu’avec les gens. Ils tendent à faire des pirouettes à l’église et à se préocuper de ce que les transitions soient uniques. Une atmosphère spéciale se crée entre la prédication et la louange et quand le pasteur fait les desux ou lorsque le conducteur de louange a pris le thème de pasteur et se voit lui-même comme le pasteur de la louange.
Durant les quatorze ans où j’ai été pasteur senior dans une église à croissance rapide, nos raisons, nos saisons les plus fructueuses furent celles où à la fois je dirigeais la louange et je prêchais. Et seulement un autre pasteur dirigeait la louange quand je ne la faisais pas.
Vous pouvez me dire je suis un vieux hippie. Je sens que le culte d’adoration, pour être parfait et ordonné, a desespérément besoin d’une infusion de la touche pastorale de Dieu. Cela ne signifie pas que seul le pasteur doit conduire la louange, mais quiconque dirige doit revêtir le don spirituel d’un pasteur.
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LE PRINCIPE DE LA SURPRISE
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La surprise est tout ce qui peut avoir un impact sur le cœur humain. Non pas la surprise pour la surprise, mais la surprise qui ouvre le cœur humain au Dieu surprenant.
Voici ce que je veux dire. Avez-vous déjà noté que les pasteurs terminent leurs messages de la même façon à chaque fois. Je commence à constater cela dans mes sermons. Je demande toujours aux gens de se lever et de prier, mais personne n’est ouvert à Dieu parce que c’est trop familier. Un jour, je reflechissais au sujet des comportements routiniers qui sont des sacrilèges pour Dieu. Alors, à la fin de mon message cette semaine là j’ai simplement dit ‘‘ à la prochaine’’. Tout le monde a été étonné et la parole est demeurée vivante, subsistant dans les cœurs sans exercice de routine religieuse pour l’affaiblir.
Je savais que j’avais touché un point sensible alors j’ai reçu environ dix finales pour les sermons. Une fois je terminais avec une prière personnelle, la fois suivante avec un cantique pour enfant ou une forte prière publique, ou un ‘‘ à la prochaine’’, ou la prière de benediction, un hymne, etc… Les gens ne pouvaient jamais prédire quand ou comment j’allais terminer. Et je crois que cela ajoutait de l’impact.
La plupart des conducteurs de louange terminent aussi le culte de la même façon a chaque semaine. Je prêche souvent le sermon après deux cantiques de louange et puis je termine le culte avec une autre période de louange. Franchement, je trouve que cette approche a plus de vie en grande partie parce que je vois le culte comme une reponse à la Parole et à notre proclamation de Dieu. Je préserve aussi la louange d’être une repetition aveugle. La surprise une vigilance spirituelle.
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LE PRINCIPE D’ETRE UN ADORATEUR
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Etre un bon musicien n’est pas un remplacement pour une puissante vie d’adoration personnelle. Diriger la louange sans être parainé sur la façon d’avoir une vie d’adoration est voué à la mort. C’est comme être un prédicateur qui ne fait pas son culte personnel. Les sermons manquent rapidement de l’empreinte claire de la presence de Dieu.
La puissance quitte la louange à chaque fois que le conducteur ne lit pas la Bible de façon disciplinée chaque jour, étudiant sérieusement la Bible par lui-même et ayant un moment de contemplation et de culte avec Dieu.
Et cela ne consiste pas dans l’étude ou la lecture en préparation de diriger la louange. Un conducteur de louange doit être en contact de façon authentique avec Dieu sur une base journalière, et cela doit être le reflet de son désir et de sa discipline envers Dieu. Des périodes vides d’adoration se produisent quand le dirigeant lui-même n’a pas été assez en contact avec Dieu pendant toute la semaine. C’est surement la clé la plus essentielle pour un minisrère de louange dans l’église.
Auteur : M. Doug Murren
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